Le temps passe sacrément vite, on a commencé à en parler il y a plus de 2 mois déjà et tout doucement 2008 se rapproche, réduisant de plus en plus l'écart.
Histoire de faciliter les calculs, le 9 c'est le jour de naissance de tchutchu mais aussi le jour de notre prochain envol pour le japon (je précise pour les absents du dernier rang), dans un mois il aura deux ans, et le jour de son anniversaire seulement 2 mois nous sépareront du départ soit l'équivalent en durée du séjour que nous allons y passer..................oui je sais j'adore la torture mentale, je dois même reconnaitre que je fais une espèce de fixation sur le temps qui s'écoule, en fait j'ai même un problème avec le temps, je ne peux m'empêcher de sans cesse le calculer, celui qui reste ou celui qui nous sépare de tel ou tel évènement. Le pire, et ma femme pourra en témoigner, c'est quand nous partons au Japon, sans cesse je calcule le temps qu'il nous reste à passer la bas, alors dès qu'arrive la bascule (la mi-séjour) tout les compteurs s'affolent car il nous reste moins de temps à passer sur place que ce que nous avons déjà passé, et c'est le déchirement, j'ai l'impression d'avoir déjà le cul dans l'avion qui nous ramène à Paris. Un spécialiste trouverait surement un nom barbare pour définir le trouble qui m'habite mais au fond je m'en balance car cela ne me dérange pas, j'assume pleinement ce défaut qu'est le mien même si il faut bien le reconnaitre c'est parfois pesant, surtout quand s'immisse la désagréable sensation de perdre son temps.......alors là c'est le ponpon.
Finalement moi qui n'avait rien à raconter ce soir, me voilà bien bavard sur moi même, je comptais simplement faire une ligne pour marquer la date et me voilà quasi allongé sur le divan à raconter ma vie, l'opposition et le trouble qui règne entre mon moi et mon sur-moi, et encore je m'arrête là car sous-moi c'est pas joli joli. En deux ans de philo (j'étais pas sur d'avoir tout compris alors j'ai fait un an de plus) j'ai jamais rien pigé à ces conneries, me rappelerai toujours d'un exemple donné par le prof pour illustrer le matérialisme et la dépendance des hommes (enfin je crois que c'était ça), il nous disait que lui était libéré du matérialisme, pour preuve il avait une caisse toute pourrie dont il se moquait éperdument et quand des mal-au-trou lui ont volé, il ne s'en est point émeut...................mais qu'il est c.. ce c.., quand bien même ma caisse serait pourrie et que je m'en foute, si il y a bien un truc que je ne pourrai jamais blairer c'est de me la faire tirer, sans déconner, fermer les yeux sur le braquage de sa caisse, y a bien qu'un prof de philo pour faire ça.
Euhhh sinon pour le rapport avec le japon 2008, bah, heu, ..... La délinquance au japon est l'une des plus faible au monde.......... et hop tel le chat de ma femme je retombe sur mes pattes.......ha non pas le chat de ma femme, il sait pas faire, l'est trop gros ce boulet, à peine foutu de grimper sur une chaise, la dernière fois qu'il a voulu grimper sur le rebord de la fenêtre (il poursuivait un intru de la même espèce que lui) il s'est complètement raté et m'a labouré toute la tapisserie à essayer de faire monter son gros derrière à hauteur de ses pattes avant....... je l'aurais flingué ce jour là.
Enfin bref.

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