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YOKOSO

Tchutchu, c'est quoi ?
Je demanderais plutôt, c'est qui ?
Tchutchu c'est mon fils enfin son surnom et ce blog est né le même jour que lui.
Pourquoi ?
Simplement parce que j'en avais envie. C'est un peu comme un journal de bord dans lequel je parlerai de tout, sur tout, sans prétention, enfin j'essaierai, et surtout je parlerai de mon fils, avec l'espoir qu'un jour ce soit lui qui prenne la parole.
.....Bon bah maintenant y aussi sa soeur Ako !!!!!

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Shonan Beach FM

2 août 2007 4 02 /08 /août /2007 23:32
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Allez, comme promis une petite explication:
"Au Japon, le jour de l'anguille "Doyo-non-Ushino-Hi" marque sur le calendrier des saisons le jour le plus chaud de l'année: aux alentours du 20 juillet. L'été au Japon est d'une chaleur extrême. Se régaler de chair d'anguille aide à se maintenir en bonne santé. C'est une coutume dictée par la sagesse populaire à travers la vie quotidienne. L'anguille acquiert de plus en plus de graisse et de saveur au fur et à mesure que l'été s'avance vers l'automne. On peut donc dire aussi qu'il s'agit là d'une sagesse pleine d'expérience visant à profiter en même temps de la saison de l'anguille et de ses bienfaits curratifs.
Naturellement riche en protéines de qualité et en diverses vitamines, l'anguille est une source de santé. La vitamine A améliore la vue (50 fois plus que les poissons ordinaires). La vitamine E, en activant le fonctionnement hormonal, agit contre le vieillissement. Les vitamines B1, B2 fortifient l'épiderme et l'estomac. DHA et EPA purifient le sang et améliorent les capacités cérébrales, notamment la mémoire.

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Bien que née en pleine mer, l'anguille vit en eau douce, retournant toutefois à son lieu d'origine à la saison de la ponte. L'incroyable vitalité qui lui permet de survivre plusieurs jours hors du milieu aquatique ainsi que le mystère qui entoure ses moeurs ont donnée naissance à diverses légendes et anecdotes tant en Europe qu'au Japon. Depuis toujours, la base de l'alimentation japonaise repose sur le poisson; l'archipel nippon abonde en poissons de toute sorte, parmi lesquels l'anguille. Déjà, dans le Manoyoshu (313 - 759), le plus ancien recueil de poèmes japonais, on vante ses qualités gustatives.

A l'origine, il existait une recette "Gamayaki": simple grillade de chair d'anguille perçée d'une fine broche, l'ensemble ressemblant à la typha, une sorte de roseau (Gama: typha, Yaki: grillade). Plus tard, à l'époque d'Edo (1603 - 1867), on inventa une nouvelle recette: "Kabayaki" pour rehausser le goût de l'anguille. Les mets favoris de cette ère étaient: le Sushi, la Tempura (beignets), les Sobas (nouilles de sarasins), et l'anguille. Parmi les plats qui revenaient le plus souvent sur la table populaire, on peut citer dans l'ordre: les Sobas, le Sushi, la Tempura. L'anguille restait, par excellence, un aliment de choix. La recette de "Kabayaki", dont seuls des professionnels expérimentés savent relever la saveur, a donc distingué l'anguille de la cuisine familiale et lui a accordé toutes ses lettres de noblesse.

Le "Kabayaki" réclame beaucoup d'attentions: l'anguille est levée en filet, mise en brochette, grillée sur la braise, cuite à la vapeur. Ensuite les brochettes sont plongées à plusiseurs reprises dans une sauce spéciale et grillées à nouveau sur la braise. Ce travail donne à l'anguille tout son moelleux et son raffinement. Cette sauce spéciale à base de sauce Soja (Shoyu), élément indissociable de la tradtion culinaire japonaise, en accentue encore la subtilité du goût. Les brochettes d'anguille sont directement plongées dans la sauce et laissées en place de façon à ce que la chair de l'anguillle distille son arôme et s'imprègne à son tour des délicatesses de la sauce. Ainsi, il a fallu plusieurs générations pour élaborer au coeur de maisons ancestrales le secret de son goût. "Unadon" 'Unagi: anguille, Don : bol) est une des variations du Kabayaki: des morceaux de Kabayaki disposés à la surface d'un bol de riz bien chaud, nappé de sauce, constituent un plat complet et, depuis toujours, très recherché. Kabayaki et sauce sont en bouche pareillement inégalables.

Depuis que NODAIWA, restaurant spécialisé dans la préparation des anguilles, a vu le jour à la fin de l'époque Edo, l'esprit et le savoir-faire de son fondateur, NODA Iwajiro, continuent d'animer ses descendants. C'est ainsi que le dirigeant actuel, KANEMOTO Kanejiro, de la cinquième génération, n'hésite pas à traverser le Japon et le monde entier à la recherche des meilleures anguilles. Il en a découvert en Europe. C'est la raison pour laquelle est né NODAIWA PARIS qui offre de vous initier au bon goût et à l'élégance culinaire de l'ère Edo.

Pffuuuuuu, j'en sais des choses, heinn ?? et bah non, en fait je viens de recopier le petit prospectus qui était donné avec les anguilles que nous avons achetées. Pour une fois que ce gachis de papier sert à quelque chose.
Tout ceci provient d'une grande enseigne "NODAIWA" dont c'est la spécialité (n°3 au japon, mais n°1 en Europe).
Une adresse à Paris:
272 rue Saint Honoré
75000 Paris
01 42 86 03 42

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Essayez c'est délicieux.
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10 avril 2007 2 10 /04 /avril /2007 22:03

Je vous l'accorde, il ne s'agit pas vraiment d'un resto mais d'une patisserie-salon de thé japonaise. Seulement comme c'est nippon (ni mauvais........oui j'ai osé !! parfaitement et j'assume !!!!) et bien j'en parle. Ici pas de religieuse au café ni de gland (?!?) encore moins de tartes aux fraises mais de la patisserie comme au pays (le leur pas le nôtre(ohhh facileeuhhh)) dont je tairais les noms puisque je ne les connais pas et finalement ça ne causerait pas à grand monde.

En tout cas l'ambiance est là et c'est le principal. Pour ceux qui connaisse, on s'y croirait et pour ceux qui connaissent pas, vous allez vous y croire. Service minutieux, patisseries raffinées, emballages somptueux et addition salée sont les ingrédients incontournables de ce magasin. On aurait presque envie de payer en Yens.

Reste que les parfums et textures sont parfois un peu déroutants pour les palais innocents, passé la découverte et parfois la surprise, on apprécie, à moins vraiment de manquer d'ouverture (on s'accroupie, on tousse un coup et hop ! ca va mieux !!!.....oui oui, celle la aussi j'ai osé, parfaitement).

Pour les nostalgiques du sucré à la nippone, c'est ici que cela se passe, pour les néophytes, pas d'hésitation l'adresse est sûre et de toutes façons, ce genre d'enseigne ne courre pas les rues même à Panam.

Pour nous ce coup-ci: Sakura Mochi, avec feuille de cérisier, uniquement de saison et tout se mange.

Facile à trouver et il y a un immense parking souterrain juste devant....enfin en dessous, devant c'est l'entrée....du parking !!!

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31 mars 2007 6 31 /03 /mars /2007 22:10

Histoire de conclure cette journée sur une bonne impression et d'effacer le gout amer laisser par un 103 pouces, nous avons terminer par un  petit japonais.... à emporter puisque tchutchu devait prendre son bain, manger et se coucher. Nous sommes donc aller au "Bistro J"

Ce restaurant qui s'est installé dans les restes d'un vieux troquet bien franchouillard, est le seul vrai resto japonais de tout Versailles. Déclinaison du magasin d'alimentation Pomponnette (alimentation japonaise), qui auparavent faisait de la petit restauration, c'est désormais dans un vrai restaurant que se lance les propriétaires, enfin monsieur, puisque madame conserve la boutique alimentaire.

Nous avons donc fait un saut rapide, histoire de repérer les lieux et d'emporter quelque chose si quelque chose il y avait à emporter (c'est trop beau la langue française !!!).

Le menu c'est donc composé comme suit:

Tori Teriyaki pour madame

Chirashi Sushi pour bibi.

Et tout ça pour 20 € (10€ chacun). Et bien ça le fait. Heureux de découvrir qu'il y a un bon japonais à Versailles. A coup sur on ira avec les potes.

Pour ceux qui voudraient y aller, ne chercher surtout pas une enseigne ou une devanture flashy avec des Kanjis visibles à 100 m, ils se sont installés dans un vieux troquet comme je l'ai dit au début où pour l'instant rien n'a changé, même le nom de la précédente enseigne est toujours en place. Pour être sur de tomber dessus, prenez la contre allée à gauche tout de suite après le feu, à l'entrée de la rue des Etats généraux qui mène à la gare. Voilà c'est dit.

Même Tchutchu a fait copain copain avec le staff en attendant la préparation.

"Moi la prochaine fois j'y bouffe gratos !!!"

 

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10 mars 2007 6 10 /03 /mars /2007 21:11

 

On débute cette nouvelle rubrique avec un resto japonais.........ouaiiss !!! trop cool, on s'y attendait pas du tout, quelle originalité !!!!!!........et là je dis stop !!!!! Halte aux médisances.

Pourquoi un resto japonais, simplement parce que j'ai commencé le rallye des resto dans le cadre de la CECJ, mais si rappelez vous, c'etait .

Voici donc "MATSUDA":

 

Il s'agit d'un restaurant à Sushi, au cadre sympathique mais relativement basique, n'y attendez pas un dépaysement total. L'ensemble est même un petit vieillot, entendez par là une certaine usure apparente de l'ensemble du mobilier.

 

 

A contrario le personnel est tres souriant et avenant. Un bon point pour le patron qui est tres amical.

La carte est simple et ne se perd pas dans un choix digne des pages jaunes. Les tarifs commencent à 11 euros pour un déjeuner (le midi !!!). Pour nous le choix s'est arrete sur Sashimi et Chirashi:

 12 + 12 = 24€ l'ensemble.

Petit geste appréciable qui rappel le pays, le thé qui arrive sur la table tout de suite sans que vous le demandiez, contrairement à la carafe d'eau...................tellement plus authentique !!!

De l'avis de madame, la préparation du riz pour le Chirashi est très révélatrice des origines japonaises du patron. Un bon point donc pour le riz (rigolez pas ca fait toute la différence entre les restos). Pour ma part, le poisson, même si il n'offrait pas la même richesse et la même variété que la bas, il n'en était pas moins très bon, et j'ai retrouvé avec plaisir cette sensation de la chair qui fond sous le palet......................un vrai bonheur. 

A cela on ajoute une soupe, rien a redire du tout bon, un bol de riz (pour bibi), ca va, et des amuses gueules (petits légumes vinaigrés et racines de lotus grillées), pas trop mal. Le tout est servi très rapidement ce qui est appréciable. Les baguettes sont en bois et à usage unique (les habitués des restos chinois me comprendront !!!!).

Facile d'accès, le plus simple est de se garer au parking souterrain du marché Saint Honoré. Attention tout de même à ne pas trop trainer dans le coin, sous peine de payer plus cher de parking que de resto (la vache ils se rincent mignon les cochons !!! d'un autre coté ma 206 cc au milieu des merco et aux autres BMW, Lotus, Porsche.........au fond c'était peut être moi l'intrus dans tout ce beau linge)

Lui par contre avec son Picasso, c'est sur qu'il a pas raquer au parking Saint Honoré, mais il m'a chi.. ma photo.......enfin bref, c'était bon et il faisait beau, je lui pardonne !!!!

En somme un bon petit resto, rien d'exceptionnel en soi, mais au moins vous avez du vrai japonais pour une somme convenable. A faire !!!!!!

 

MATSUDA, 19 rue St Roch 75001 PARIS.

Et comme j'essaye de faire les choses bien voici Paris resto.kmz pour celles et ceux qui jouent avec Google earth. Pour l'instant y a qu'un resto .......... mais au moins comme ça vous pourrez pas vous gourrer !!!!

 

 

 

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